Je suis
La feuille dans le vent qui fait frémir le cœur | L’obscurité furieuse nourrie de vos silences | Le courant d’air qui insuffle le doute…
La feuille dans le vent qui fait frémir le cœur | L’obscurité furieuse nourrie de vos silences | Le courant d’air qui insuffle le doute…
Où êtes-vous mes petits mots ? Étoiles sur mon chemin | Bousilleurs de chaos | Absorbeurs de trop-plein | Désespérément | Déboussolée…
Tout en apesanteur | Me balancer | Pour vaincre ma peur | Et ta rigidité | Prendre la tangente | Désaxer mes repères…
Il y a un an, je publiais ici mon poème Sur le fil, utilisant la métaphore du funambule pour décrire cette sensation étrange de ballottement permanent, entre force et fragilité, que m’impose ce Fils de Park’s.
365 jours de toi | De vie commune | J’ai pas vraiment le choix | Et nullement ne l’assume…
L’année passée nous a prouvé que malgré l’adversité, l’amour et l’amitié, au creux de nous, sont solidement enracinés !
Je respire | Je bois | Je mange | Je dors | Sur le fil | Je crie | Je pleure | Je jouis | J’ai peur…
Deux lignes d’horizon Pour un même combat | Essuyer l’affront | D’un mauvais karma | La force des mots | Pour décrire l’indicible | Le choix du vélo | Pour nous rendre visibles…
5 ans, ce n’est rien | Un grain de poussière | Une étape tout du moins | Pour nous deux, partenaires…
Un nouveau visage pour Fils de Park’s ou le besoin pressant de rassembler sur une même plateforme tout ce qui m’apaise, qui me stimule…