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6 Comments

  1. O'Dowd Marie Christine
    25 février 2013 @ 9h38

    Sacré Parkinson, tous les moyens sont bons pour faire parler de lui ! 🙂
    Amitiés,
    Marie Christine .

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  2. Anonyme
    25 février 2013 @ 16h53

    Hello my dear. I've seen this article in its own time, but I needed some space to think about it. I've been there with you quite often, and I know what you mean about your flying cups of coffee, about the slippery tiles, about the slowness of reaction. It made me shrug sometimes, because I felt my own failure in delivering you some help or comfort.

    But I am writing because I found links to what you describe, closer than I could ever think: depression. This fils de pute de depression, sometimes feels like a brother of the fils de pute de parks. Perhaps not a twin brother, but a brother nevertheless. And by that I want you to know that I am not implying that having “blonde” existential lows or depression is the same thing as having Parkinson's. It just sometimes feels like I'm swimming in a gluey soup, with my moves in slow motion, my thoughts leave my brain with the speed of an escargot de Bourgogne, sounds and experiences reach me “generations”, perhaps “lives” after.

    Would that make me Madame Almost Happy? Like the Almost Winners, you know? 🙂

    This is just saying that I hear what you say, and I wish I could do something to change it. But I do send you all my love.

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  3. Anonyme
    25 février 2013 @ 16h58

    Ha, my first comment was for your other article, the “Miss Almost”, but somehow it ended up here. Never mind, it must be my “blonde” genes coming at the rescue…

    About the Fils de P facebook page: c'est ce que j'appelle “L'arrogance Française”, non? 😛

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  4. Beautiful parents!!!!
    25 février 2013 @ 17h31

    LAISSE TON LOCATAIRE INDELICAT EN HOLLANDE ET PROFITE AU MX DU VIETNAM EN TE FORCANT à ne rien ramener…en souvenir comme des moustiques indésirables!!!
    bon vent et reviens-nous vite! Gros gros bisous des Aixois

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  5. halima madouri
    8 janvier 2018 @ 8h46

    Vraiment ,c'est çà,se battre pour conserver une place dans son propre cerveau:et il n'y a que la personne atteinte de parkinson qui peut comprendre le sens de cette petite phrase qùi en dit beaucoup : quand on est OFF,et que tout devient impossible,on se sent impuissant , inutile ,une loque humaine,qui cause des désagrément et soucis à son entourage,;et une fois en ON: la vie est belle ,et tout devient facile et réalisable,et on est dans un état d'euphorie qu'on veut communiquer à nos proches, comme si on leur dit: oubliez la personne incapable de tout à l'heure ; parfois je me dis Lili,est ce que cette levodopa exogène,ne change pas en nous des points très minuscules, mais qui sont perçus par notre entourage ;merci Lili de nous avoir permis de fouiner dans notre intérieur en exprimant si bien ,ce qu'on ressent et on ne peut ,ou on n'ose même le dire plus haut.

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  6. Lili Saint Laurent
    8 janvier 2018 @ 18h19

    Merci Halima pour ce magnifique commentaire ! C'est vrai, l'écriture est salutaire et me permet de mettre des mots sur mes “maux”. Mais, de savoir que cela peut aider d'autres personnes à supporter ce colocataire indélicat… C'est le plus beau des cadeaux ! Je vous souhaite une belle année 2018 ! Au plaisir de vous lire, à bientôt. Affectueusement. Lili

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