Les émotions au pays d’Aragon
Rien n’est précaire comme vivre. Rien comme être n’est passager. C’est un peu fondre comme le givre. Et pour le vent être léger. J’arrive où je suis étranger…
Rien n’est précaire comme vivre. Rien comme être n’est passager. C’est un peu fondre comme le givre. Et pour le vent être léger. J’arrive où je suis étranger…
La maladie creuse en moi son sillon, mais n’en raye pas pour autant le disque de ma vie. A contrario, elle m’aide à grandir, à faire des choix, à me protéger.